commune deSerrières

Musée des Mariniers

SERRIÈRES – LE MUSÉE DES MARINIERS

ATTELAGE DE CHEVAUX FAISANT LA REMONTÉ DES BATEAUX SUR LE RHÔNE

Attelage de chevaux faisant
la remonté des bateaux
sur le Rhône

Attelage de chevaux faisant la remonté des bateaux

par le Musée des Mariniers

ATTELAGE DE CHEVAUX FAISANT
LA REMONTÉ DES BATEAUX SUR LE RHÔNE

Ce tableau de Dubuisson réalisé au XVIIIème siècle représente un attelage de chevaux faisant la remonté des bateaux sur le Rhône entre Valence et Tournon.

À l’apogée de la marine de halage, les équipages comptent entre 30 et 90 chevaux pour haler les embarcations, tandis qu’une cinquantaine d’hommes se répartissent sur l’ensemble des barques.

On distingue le conducteur qui gère le convoi, le patron et son adjoint, le prouvier, dont la mission est de sonder la hauteur d’eau à l’avant de l’embarcation de tête (barque capitaine), le cuisinier, les mariniers et les conducteurs de chevaux.

 

À la remontée, le convoi s’étire longuement, les ordres hurlés repris de barque en barque annonçant de loin son passage.
De nombreux obstacles (piles de ponts, confluents…) obligent le chemin de halage à passer d’une rive à l’autre. Les animaux traversent alors à l’aide de barques : les civardières.

Cette manoeuvre difficile se renouvelle plus de dix fois entre Avignon et Lyon.

Attelage de chevaux faisant la remonté des bateaux

par le Musée des Mariniers

Ce tableau de Dubuisson réalisé au XVIIIème siècle représente un attelage de chevaux faisant la remonté des bateaux sur le Rhône entre Valence et Tournon.

À l’apogée de la marine de halage, les équipages comptent entre 30 et 90 chevaux pour haler les embarcations, tandis qu’une cinquantaine d’hommes se répartissent sur l’ensemble des barques. 
On distingue le conducteur qui gère le convoi, le patron et son adjoint, le prouvier, dont la mission est de sonder la hauteur d’eau à l’avant de l’embarcation de tête (barque capitaine), le cuisinier, les mariniers et les conducteurs de chevaux. À la remontée, le convoi s’étire longuement, les ordres hurlés repris de barque en barque annonçant de loin son passage.
De nombreux obstacles (piles de ponts, confluents…) obligent le chemin de halage à passer d’une rive à l’autre. Les animaux traversent alors à l’aide de barques : les civardières.

Cette manoeuvre difficile se renouvelle plus de dix fois entre Avignon et Lyon.